- – Article Alliance sur « il faut imaginer Sisyphe heureux »: https://www1.alliancefr.com/actualites/il-faut-imaginer-sisyphe-heureux-correspondance-de-sarah-mostrel-et-maud-hofmann-6112081
- Article sur ActuJ no 1675 du 2 février 2023 sur « Il faut imaginer Sisyphe heureux », éd. Le Lys bleu
- Interview à Studio Qualita du 11 janvier 2023 :
- Dans la poéthèquedu Printemps des poètes : https://www.printempsdespoetes.com/Sarah-Mostrel-1607
- Article dans Tribu12 :

- « L’oeil et le coeur », éd. Unicité, dans le magazine photo OPENeye (en page 219) !

Pour commander le livre : http://www.editions-unicite.fr/…/l-oeil-et-le…/index.php
@openeye_magazine
- Article dans le magazine LPH du 31 mars 2022.
« Le grand saut de Sarah », par Nathalie Sosna-Ofir


- 4 avril 2022 Portrait par Nancy Abouzeid, pour #mylittlevanves
[#NosVoisinsOntDuTalent n°34] Bonjour! Pour bien démarrer la semaine, je vous propose de rencontrer Sarah Mostrel, une artiste vanvéenne aux mille talents! Ecriture, peinture, musique, chant… rien ne lui résiste! Sarah utilise de nombreux canaux pour s’exprimer, et est particulièrement prolifique. Vraiment impressionnante ! Vous l’avez peut-être croisée à la Fête du livre de Vanves le mois dernier…et vous la croiserez à nouveau car son actualité est riche! Sans plus attendre, je la laisse vous en dire plus sur elle, et sur ses projets:
1/ Qui êtes-vous en quelques mots ?
Après un Bac Scientifique et des études d’ingénieur en électronique/informatique, j’ai changé de métier il y a une quinzaine d’années pour suivre une école de journalisme, métier que j’exerce actuellement, dans un hebdomadaire (presse écrite). Journaliste, je suis par ailleurs poète, écrivain, auteure-compositeur-interprète, artiste peintre, et photographe. Des activités qui se sont ajoutées au fil du temps.
La musique a toujours été une grande passion. J’ai appris le piano à 7 ans, fait 12 ans de conservatoire. Auteure publiée depuis les années 2000, j’ai travaillé avec plusieurs compositeurs et je chante sur scène mes créations.
Roman, essais, recueils de nouvelles, de poésie, livres d’artiste… J’ai publié une vingtaine d’ouvrages. Certains livres sont aussi illustrés de mes photos, peintures, dessins. Photos et peintures que j’expose dans des galeries et autres lieux dédiés.
2/ De quel projet… ou plutôt « quels projets » nous parlez-vous aujourd’hui?
Je vous livre une petite réalisation inédite, faite en confinement : « Regards sur la ville » : https://youtu.be/UTf7XjdE6bo
Une période très créative puisque j’ai publié lors du confinement un livre de photos (« Lœil et le cœur », éd. Unicité), une correspondance littéraire (« Il faut imaginer Sisyphe heureux », éd. le Lys bleu) et un livre de nouvelles (« D’ombre et de lumière », éd. L’Echappée belle), ainsi que mon5e album dans lequel je suis auteur-compositeur-interprète, « Ce qui nous lie ».
Je prépare :
- Un nouvel album de musique avec Roger Pouly (compositeur de Charles Trenet, Pierre Chêne etc.)
- Un essai sur les femmes (parution en avril)
- Une expo (la prochaine en juin et en novembre)
Et pour vous, quelques interventions réalisées à Vanves, ville que j’affectionne tout particulièrement :
- 13 mars Fête du livre de Vanves. Invitée en tant qu’auteure et présidente du jury du concours de poésie organisé par la ville
- 9 décembre-15 janvier 2022, Expo individuelle « Effervescences » à La Treille d’Hypathie
- Le 25 septembre 2021, Concert à l’espace Gazier de Vanves, pour la sortie du dernier album de Sarah Mostrel « Ce qui nous lie »
- 2020 Parution de « Chats Flore », avec le Cercle des auteurs vanvéens, éd. Astropik (textes et peintures)
- 2019 Parution de « Coalescences », avec les Ateliers d’expression de Vanves, éd. Astropik
- Le 11 mars 2019, « Entre nous », spectacle musical, est joué à l’Espace Gazier de Vanves
- Exposition des artistes pour les 40 ans de l’Atelier d’expression à la salle Palestre de Vanves.
- 2018 Exposition photos à l’Espace Giner de Vanves, suite à un concours de photos Instagram (https://www.instagram.com/sarahmostrel/) organisé par la ville
- 2018 Exposition de peintures avec les Ateliers d’expression
- 2017 Exposition de peintures avec les Ateliers d’expression
- 2016 Exposition de peintures avec les Ateliers d’expression
- 2011 « Un printemps des poètes à Vanves », article paru dans la revue Chemins de Traverse
- Le 1er juin 2011, récital « Voyage au pays des mots » s’est joué à la salle Panopée de Vanves.
- 2010 Forum des auteurs de la ville de Vanves
- 2010 Hommage au poète vanvéen de la Renaissance Philippe Desportes, Galerie Saint-Rémy, 5 rue Gaudray, Vanves. Lectures poétiques.
- 2009 Dédicaces de livres à Vanves, Librairie Blondel, 23 rue de la République, Librairie Tran, 49 rue Jean Jaurès, Librairie du lycée, 9 avenue Victor Hugo
- 14 novembre 2009 – Club Murillo. Présentation de l’essai « Osez dire je t’aime » par Sarah Mostrel, accompagnée au piano par Pierre Meige. Chansons.
- 2004 Parution de Paroles vanvéennes, (4 textes), éd. du Bout de la Rue (2004)
- 31 janvier 2004, Présentations du recueil de nouvelles « Noël Noir », Espace socioculturel Albert Gazier
- Décembre 2004, Espace Albert Gazier. Représentation théâtrale autour des nouvelles du recueil « Accidents de parcours » interprétée par une troupe professionnelle.
- Jeudi 9 et 15 juin 2000 – 21h00. Concert « Autour des cordes » et concert de clôture. Poèmes écrits sur la musique du compositeur Marc Kowalczyk, en résidence au conservatoire de Vanves. Lectures poétiques durant les concerts. Salle des Fêtes Henri Darien de l’Hôtel de Ville de Vanves.
3/ Comment vous contacter ou retrouver ?
Page Facebook : http://www.facebook.com/sarah.mostrel
Chaîne You Tube : http://www.youtube.com/user/SarahMostrel
Instagram : https://www.instagram.com/sarahmostrel/
Site internet : https://sarahmostrel.wordpress.com
Twitter : https://twitter.com/sarahmostrel
- Parcours d’artistes, par Elaine Kibaro : https://youtu.be/C3apNb2zfG8
- A la télé, sur idf1, avec Jacky : https://youtu.be/YbFo29dvjxM
- 13 mars 2022 : Fête du livre de Vanves
3 questions à Sarah Mostrel : http://www.bibliotheque.vanves.fr/2-non-categorise/166-evenement-des-livres-et-vous-3-questions-a-sarah-mostrel
La poétesse vanvéenne Sarah Mostrel, présidente du jury de notre concours de poésie et invitée à l’événement Des livres et vous ! le dimanche 13 mars, a accepté de répondre à 3 questions
1. Qu’est-ce qui vous a donné envie d’écrire ?
L’envie et le besoin de poser des mots sur le monde. Une tentative aussi de le comprendre. Il y a l’émerveillement, qui incite à écrire de la poésie ; le goût pour la balade, qui implique de commettre des nouvelles ; la manie de tout décortiquer, qui entraîne l’analyse, avec l’écriture d’essais, sans oublier le goût pour la beauté qui pousse à une certaine esthétique, au visuel, aux livres d’artiste, aux ouvrages accordant mots, photos et peintures, alliances que j’ai réalisées à plusieurs reprises. Et enfin, naît le roman, comme une fleur qui éclot, une lettre de noblesse. S’adonner à la fiction, à l’imaginaire, fabriquer des personnages, leur donner vie à travers diverses personnalités, existences, est un jeu, mais aussi un travail. Ecrire est un engagement, une responsabilité, un moyen de faire passer des messages. Journaliste, écrivain, artiste, j’ai d’abord été ingénieure avant de me tourner vers la littérature. Créer est pour moi une véritable nécessité.
2. Pouvez-vous nous parler de votre dernier livre paru ?

J’ai à ce jour publié près d’une vingtaine de livres. D’ombre et de lumière est sorti en juin 2021. Troisième volet d’une trilogie parue aux éditions L’Echappée belle (après Révolte d’une femme libre et La dérive bleutée), l’ouvrage traite de l’expérience amoureuse à travers l’histoire de plusieurs couples. Tandis que la vie ne se déroule pas toujours comme prévu, que les unions se font et se défont, les personnages de Sarah continuent de rêver, d’espérer, de résister. Événements inattendus, rebondissements… L’amour est au centre des préoccupations des protagonistes. « Je vais t’aider, ma Rose, tu rencontreras ton Zazou ! », promet Odile à sa sœur. « Tenter, oser, recommencer… » Rose se laissera-t-elle porter par la vague du bonheur ? Une chose est sûre, il n’est pas loin…
3. Quel est le dernier livre que vous avez lu et apprécié ?
Gabriële de Anne et Claire Berest.
C’est l’histoire de deux femmes qui découvrent la vie de leur arrière-grand-mère, laquelle fut la femme du peintre Picabia. Indépendante, musicienne, féministe, elle va se consacrer entièrement à son mari, lequel aura la carrière qu’on lui connaît, tout en étant le « cerveau érotique » qui l’accompagnera tout le long de sa carrière. Le milieu dans lequel le couple évolue est passionnant. Nous sommes au début du XXe siècle. On y croise Marcel Duchamp ou encore Guillaume Apollinaire, et les courants littéraires et picturaux en vogue, à Paris, New York, Berlin, Zurich, Barcelone, Etival, Saint-Tropez. Art abstrait, futuriste, dadaïsme, Gabriële Buffet est de tous les combats. Femme remarquable, elle est grâce au travail magistral des deux auteures enfin réhabilitée.
- 12 mars 2022 Article sur TJ par Sarah Cattan
https://www.tribunejuive.info/2022/03/12/sarah-mostrel-loeil-et-le-coeur-un-regard-sensible-sur-le-monde/
11 mars 2022 dans « Découvrons l’artiste : https://www.facebook.com/100003709947608/videos/5271149482903931/
- Voix de femmes, anthologie de poésie féminine contemporaine, 2021
https://abp.bzh/marie-josee-christien-au-sommaire-de-l-antholo-53079
Prix international de la poésie audiovisuelle de l’Académie Claudine de Tencin (Pan poétique des muses). http://www.pandesmuses.fr/megalesia21/prix-tencin3
- Août 2021. Article/Témoignage, http://www.pandesmuses.fr/no9/sm-lapeinturepassion
- « La peinture, une passion », texte inédit, Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N° 9| Fin d’Été 2021 « Femmes, Poésie & Peinture », 2e Volet sous la direction de Maggy de Coster, mis en ligne le 26 août 2021.
- 4 Juillet 2021 : Sur le magazine Tribune Juive
- Juin 2021. Tribune juive : article sur le Salon de la Licra
- Janvier 2021 : « Le désespoir de Marguerite Duras » est cité comme le livre du mois par Arts& Bien-être. https://artsetbienetre.org/review/le-desespoir-de-marguerite-duras-de-sarah-mostrel-2020/
- 4 décembre 2020 : – Les déviations. fr, parcours de Sarah Mostrel
https://lesdeviations.fr/2020/12/04/sarah-ingenieure-journaliste-artiste/
- 18 Mai 2020
https://www.parismatch.com/Chroniques/Art-de-vivre/Promeneur-solitaire-1685762
- 15 avril 2020 La Toile de l’un
Ce sont ces heures sans temps
Où tout s’efface sans nulle trace
L’arc saigne et dénonce
Les profondeurs de la nuit
…..
Tu me serres contre toi
Tu redonnes forme à ma vie
Tu rattrapes mon verbe
Sous le son du possible
…..
Sur les coulées de soie
Un incessant plaisir
Une empreinte invisible
L’émoi de tes soupirs….
Sarah Mostrel
poèmes en français et en hébreu
Encres de Marc Bergère
Éditions : Transignum, 2018
ISBN : 978-2-915862-38-6
Michel Foucault, le 4 avril 2020


- CRIF, par jean-Pierre Allali
http://www.crif.org/fr/blog/lectures-de-jean-pierre-allali-rien-voir-suivi-de-les-replis-de-lhistoire-par-sarah-mostrel

- Critique presse Ici Paris no 3897 du 11 au 17 mars 2020, sur “Rien à voir”


- Exposition de peintures individuelle au Café des Psaumes, Paris. Article sur

- 📷Exposition de peintures individuelle à Musiques Tangentes, Malakoff. Article sur http://www.parisetudiant.com/etudiant/sortie/chant-libre-exposition-de-peintures-de-sarah-mostrel.html

- 📷Article sur http://www.lelitteraire.com/?p=56441

- 📷Le salon Livre à part rassemble 46 petits éditeurs samedi 26 et dimanche 27 janvier 2019, à Saint-Mandé (94).
Quand: samedi 26 et dimanche 27 janvier de 11h à 19h.
Où: à l’Hôtel de ville, 10 place Charles-Digeon, à Saint-Mandé (94).
Combien: entrée libre.

- OCTOBRE 2017 Psychologies magazine


- JUILLET 2017. CULTURES-J :

- 27 avril 2017 :Notre siècle:https://notre-siecle.com/amour-emprise-de-sarah-mostrel-chez-guytredaniel/


- Avril 2017 : “Un amour sous emprise” dans le magazine Vanves Infos
L’emprise de Jacques est insidieuse, elle se remarque à peine. Sophie, valorisée par les marques d’amour de cet homme brillant, ne sentpas le vent tourner ; elle glisse jour après jour dans la dépendance. Elles’accroche aux mots, à défaut de pouvoir s’accrocher aux actes. Aux silencessuivent les grandes déclarations, aux absences des moments de fougue… Sa formidable capacité à aimer devientune arme que Jacques vampirise et manipule, incapable lui de vérité. Sophies’éloigne d’une vie amoureuse « banale », souvent décriée mais quidans ce cas deviendrait presque salvatrice.

- 28 mars 2017 : Chronique de Jean-Pierre Allali sur “Célébration” :
Mars 2017 : “Célébration” dans Tepaseul magazine :http://www.tepaseul-magazine.fr/spiritualite-celebration-de-sarah-mostrel/SPIRITUALITE : CELEBRATION DE SARAH MOSTREL
S’élever, pour une vision plus globale. Surplomber le monde pour l’entreprendre dans sa Totalité. Retrouver ce qui nous lie, nous relie, afin de revenir à l’essentiel. C’est ce que s’applique à nous faire entendre la spiritualité. Nous projeter hors de nous, hors de Terre, pour réfléchir au sens de nos vies. Se connecter avec ce qui nous dépasse, pour se dépasser à notre tour. Aspirer vers l’en haut, ressentir les vibrations, se baigner dans les paroles sacrées. En découvrir les interprétations, viser cette sagesse qui est la porte de l’éternité. Entourés des lettres qui dansent à l’infini, nous pouvons, par l’étude, la réflexion, avec réceptivité, accéder à des clés. Celles-ci vont nous permettre de mieux comprendre le monde, d’être de connivence avec lui, de le suivre et de ne plus rester passifs face aux événements de la vie mais plus conscients de ce qui nous entoure, plus responsables.
Tant à l’échelle individuelle que collective, nous avons la possibilité d’endosser un rôle, celui qui nous correspond, celui qui tient compte de notre être, de notre constitution, de nos compétences, de nos qualités, de nos déficiences à améliorer. En commençant peut-être par observer, regarder, contempler ce qui s’expose à nous, nous acquérons une certaine aptitude à appréhender le monde. En s’y laissant porter, en s’y intéressant, en s’imprégnant de la beauté de ce qui nous est offert, en écoutant nos ressentis, nous serons à même d’approcher un univers beaucoup plus large que celui dans lequel nous sommes confinés. Un bonheur nouveau, celui qui porte à l’infini, se présentera alors certainement. Il permet de tout relativiser, nos vies humaines, nos existences (pas toujours conformes à nos désirs premiers), notre position par rapport aux autres, à notre environnement etc. Si les choses ne se font pas forcément dans cet ordre, chacun trouvera à sa façon le chemin qui lui convient, parfois grâce à une disposition personnelle, une attitude particulière, une connexion (inconsciente ou non), un déclencheur, une proximité, une attirance vers ces sphères, l’envie d’en savoir plus.Percevoir cette Transcendance est accessible à qui va à sa rencontre. Dès lors, vivre avec cette Présence, ce qui est à la Source de Tout, est rassurant. Et digne de célébration. Il y a bien sûr plusieurs moyens d’arriver au plus haut. A la cime, tout est Un et appartient à tous. Tout est Unité comme nous formons une Unité. Dès lors, il ne tient qu’à nous de nous laisser pénétrer de l’immensité, de cette lumière, de s’enrober des messages à décoder, de s’adonner à cet élan bienfaiteur. En ce sens a été écrit « Célébration », dont de nombreuses paroles sont issues du livre de la Splendeur, pour laisser filtrer cette ouverture vers le ciel, à ses merveilles. Prêts à recevoir, nous le serons aussi à donner.http://editions-unicite.fr/auteurs/MOSTREL-Sarah/celebration/index.phpSarah Mostrel
Le livre a inspiré une pièce jouée en décembre dernier. En voici la bande annonce : <a>www.youtube.com/watch?v=YdbXtkFo30Q</a>Morceaux choisis : <a>www.youtube.com/watch?v=vySBXqVoqCY</a>
Et un petit moment zen : <a>www.youtube.com/watch?v=2NqyU5r_j5g</a>
Enregistrement récent de « Poser le monde », un des poèmes qui figurent en fin du livre : <a>www.youtube.com/watch?v=HiDN5JO7-ok*</a>(il y avait déjà cette version : <a>www.youtube.com/watch?v=m90sX3wnltM</a>et celle-ci : <a>www.youtube.com/watch?v=0_78vCF9mcY</a>)
Quelques poèmes sont aussi passés sur la radio canadienne de Carlton University CKCU: <a>http://cod.ckcufm.com/programs/414/30308.html</a>BONNE LECTURE ET BONNE ECOUTE
Quand elle rencontre Jacques, de 20 ans son aîné, Sophie est jeune,fragile, idéaliste. Exactement ce qu’il faut pour tomber follement amoureuse etne pas détecter le piège que le don Juan va lui tendre. Sous l’emprise ducharmeur qui joue avec l’absence et les silences, la jeune femme pied. Un romanpertinent, décriavant avec beaucoup de conviction le jeu du perversnarcissique, bad boy des temps modernes. Ça sent le vécu !


- Mars 2017 Bimestriel “Sensuelle” : DE L’AMOUR À LA PRISON AFFECTIVE
Ce roman se base sur I histoire de Sophie, 23 ans, qui va tomber sous le charme d’un homme brillant, séduisant maîs manipulateur II montre comment ce qu’on appelle aujourd’hui un pervers narcissique installe une dependance et fait de sa partenaire une marionnette Au fil des evenements, maîs surtout des tres nombreux textes et lettres de ce roman, on se rend compte du jeu dangereux et malsain qui se met en place Une histoire qui se lit tres facilement maîs qui fait froid dans le dos, surtout quand on sait que de telles relations sont courantes.
http://paris-frivole.com/un-amour-sous-emprise-editions-guy-tredaniel/
- – 29 décembre 2016 : sur Bernieshoot, blog toulousain

http://www.bernieshoot.fr/2016/12/amour-emprise-manipulateur-pervers-narcissique-roman.htmlUn amour sous emprise, Le jeu destructeur d’un manipulateur est un roman de Sarah Mostrel publié aux éditions Guy Trédaniel. Ce roman décrit le mécanisme d’une manipulation intensément dangereuse, un jeu dans lequel on entre sans le savoir
Ce fut une belle histoire dans son intensité. Comme tu l’imagines, elle m’a beaucoup éprouvée. À 23 ans, ce n’est pas aisé de déceler un monstre. Ai-je été muse, révélé un génie ou alimenté le narcissisme de l’artiste ?Je rêvais d’une relation d’une autre dimension, dans le partage et la communication. Dans l’amour et le désir. Or les données de base, l’égard, la considération, le respect étaient défaillantes. Ma fragilité m’a joué des tours. Et puis ces horribles personnages aiment les gens sensibles. Le prédateur avait bien choisi sa proie !
Le piège du Don Juan
Ce roman décrit le mécanisme d’une manipulation intensément dangereuse, un jeu dans lequel on entre sans le savoir.Il dénonce une maladie du siècle encore mal connue : la perversion narcissique. Le pervers narcissique a cette particularité d’installer une forte dépendance en sa conquête et de faire de sa victime une marionnette dont il actionne allègrement les fils.Ce phénomène touche aujourd’hui un couple sur cinq.
Sarah Mostrel

- 21 décembre 2016 : RCS :http://www.bit-lit-leblog.com/2016/12/un-amour-sous-emprise-le-jeu.htmlUn amour sous emprise : Le jeu destructeur d’un manipulateur, de Sarah Mostrel. Éditions Guy Trédaniel éditeur Sortie le 9 décembre 2016 Format broché / 275 pages / Prix 18,00 €Présentation de l’éditeur : Elle est jeune, fragile, idéaliste. Quand elle rencontre Jacques, de vingt ans son aîné, Sophie, 23 ans, s’empresse d’expérimenter ce grand amour qu’elle a toujours attendu. L’homme est séduisant, volubile, brillant, il la subjugue. Elle ne détecte pas le piège que le don Juan va lui tendre. Sous l’emprise du charmeur qui joue avec l’absence et le silence entre d’intenses déclarations, Sophie perd ses repères. Elle se plaint des frustrations de l’amour non consommé, le prédateur se dérobe à ses avances. Elle lui demande d’être clair, le maître de l’illusion entretient l’ambiguïté. Ignorant la stratégie du manipulateur faussement extraverti, Sophie tombe dans les excès. Parviendra-t-elle à éviter le pire ? Ce roman décrit le mécanisme d’une manipulation intensément dangereuse, un jeu dans lequel on entre sans le savoir. Il dénonce une maladie du siècle encore mal connue : la perversion narcissique. Le pervers narcissique a cette particularité d’installer une forte dépendance en sa conquête et de faire de sa victime une marionnette dont il actionne allègrement les fils. Ce phénomène touche aujourd’hui un couple sur cinq.
Voilà un roman épistolaire comme on en fait peu. Cette forme narrative particulière nous permet, nous, lecteurs, d’être témoin silencieux du drame qui se joue. Les échanges entre Sophie et Jacques sont toujours intenses et mettent nos nerfs à rude épreuve tant l’empathie que nous développons pour l’héroïne est grande. Sarah Mostrel nous plonge, sans pathos et avec brutalité, dans le monde pervers et écœurant du manipulateur. Nous avons mal, nous sommes troublés et nous réalisons soudain que les hommes tels que Jacques sont réellement dangereux et plus nombreux qu’on ne le pense.Un livre qui est loin de nous laisser indifférent. (http://www.bit-lit-leblog.com/2016/…)
Extrait lu : www.youtube.com/watch?v=bG5NaleESr4</a>(<a>www.youtube.com/watch?v=bG5NaleESr4…)
Vidéo de présentation des éditions Trédaniel : www.youtube.com/watch?v=vrmeuEG5rko
- Articles presse de 2000 à 2013, visibles sur www.facebook.com/notes/489524447735916/
– Critique« Révolte d’une femme libre » – Sarah Mostrel par Justine Coffin, 14 septembre 2015
Révolte d’une femme libre estun recueil de nouvelles hétéroclites que l’on traverse avec le sentiment d’unelecture non-essentielle mais pour autant perturbante car il joue avec nos émotionset notre empathie. C’est un étrange mélange de sentiments qui nous faitrefermer ce livre en étant mitigé, à la fois agacé, parfois surpris pour despassages dont la profondeur nous touche, et parfois pris dans la narration, etcela dépend beaucoup de chaque nouvelle et avant tout d’une perception toutepersonnelle, je crois, car ce recueil fait appel en nous à la confrontation denotre être social : jusqu’où peut-on aller ? Quelles sont les bassesses, les penséesque nous n’aimerions pas partager avec notre entourage parce qu’elles relèventtrop de quelque chose de communément humain, voir instinctif et animal (tellela tendance au matraquage psychologique dans la nouvelle « Le Chant de la vérité́»).
Les autres nouvelles sont celles qui m’ont le plus happée car elles ne s’arrêtentjustement pas toujours à l’énonciation factuelle, mais des nouvelles quicontiennent des réflexions plus travaillées et écrites avec un style plus maitrisé: « Le chaos qui régnait enmoi me rappelait à l’entrechoc des molécules en physique quantique. Ce désordreaurait convenu aux meilleurs chirurgiens sur une table d’opération. Il avaitbesoin d’être étudié, analysé, décortiqué et épuré́ de ses ramificationsobscures. Je me prêtais volontiers à des analogies. Les ressentis aussipouvaient avoir des antécédents, des tumeurs et des égarements. Il suffisaitd’en enlever les parties insanes pour les restructurer et les réorienter versle positif.» (in «La Confrontation des deux espaces »). Ces autres nouvellesapportent un vrai regard sur des éléments essentiels et universels : laconstruction de soi-même, l’embrigadement des codes sociaux qu’on s’imposent soi-mêmeet qui se retournent contre nous, une rencontre qui permet de voir en nous cequi était encore inconscient et tout cela représenté avec une plume assurée, unrythme de phrase mélodieux et lyrique.
- Article Vanves Infos n° 287 : – Septembre 2014
Au fil des pages et des images… Sarah Mostrel entreprend ici le deuxième tome de sa trilogie : La dérive bleutée. Le premier tome était centré sur les relations amoureuses, celui-ci est un recueil de nouvelles du siècle désirant mettre en exergue des événements contemporains.
A travers des expériences éparses et souvent surréalistes, l’auteure dénonce l’absurdité d’un système, se prend à espérer un monde plus juste et plus alerte, plus conscient peut-être. Doutes, élans, rêve, utopie, la femme jongle entre audace et métamorphoses, surréel et espoir. Si, dès le premier instant, il a été donné de créer, jusqu’au dernier moment, l’homme peut édifier son chemin. Et ce n’est pas tant l’issue du sentier emprunté qui sera essentielle, mais l’aspiration à vivre heureux.
La dérive bleutée
Sarah Mostrel
L’Échappée Belle Édition
Collection Pioche
– Décorée par La Renaissance française (médaille du rayonnement culturel ), (7 juillet 2014)
– Blog de M. Bernard Gauducheau, maire et conseiller régional (3 juin 2014)http://bernardgauducheau.blogs.com/bernard_gauducheau1/2014/06/livre-la-dérive-bleutée-par-la-vanvéenne-sarah-mostrel.html
LIVRE : LA DÉRIVE BLEUTÉE PAR LA VANVÉENNE SARAH MOSTREL
J’adresse toutes mes félicitations à Sarah Mostrel qui vient de publier un nouvel ouvrage « La dérive bleutée » aux éditions L’échappée belle. Après Révolte d’une femme libre, ses nouvelles de jeunesse, la Vanvéenne Sarah Mostrel entreprend ici le deuxième tome de sa trilogie. Je lui souhaite une pleine réussite avec cette publication.
– Prix de poésie néoclassique André Ombreuse dans le cadre du Grand prix international « Charles Le Quintrec » (mars 2014)
– Mairie du XVe, Médaille Alliance Francophone/Kréatika (Festival du texte, poésie chantée), juin 2013
- Portrait par Brice fait des phrases : http://bricefaitdesphrases.fr/?s=mostrel
http://bricefaitdesphrases.fr/sarah-mostrel-repond-questionnaire-candide/
Sarah Mostrel ne risque guère de s’ennuyer : ingénieur de formation, elle est tout à la fois journaliste, musicienne, poète et romancière. Son actualité est très chargée puisqu’elle vient de publier trois ouvrages. A nous d’en profiter…
- Un écrivain, ça naît comment ?
Par hasard, ou plutôt par un heureux hasard, un soir d’hiver, lorsque vous n’avez que les mots pour dire, exprimer, transmettre, poser le monde. Ainsi le verbe indique, oriente et discourt. Ne restent plus qu’aux compléments d’ajouter la couleur et au sujet de faire surface. Qui sera l’obscur objet du désir, toi, moi, lui, elle, nous ? Et sous quelle forme ? Il y a l’émerveillement, qui incite à écrire de la poésie ; le goût pour la balade, qui implique de commettre des nouvelles – qu’on espère de bonheur… ; la manie de tout décortiquer, qui entraîne l’analyse, un essai, une véritable étude de mœurs… ; sans oublier la gourmandise, la beauté du monde (rien que ça !), qui pousse à l’esthétique, au visuel, aux livres d’artiste. On s’allie alors à un plasticien pour créer des mots qu’il illustrera. Une aventure fantastique. Associer les arts, un vieux rêve ! Enfin, naît le roman, comme une fleur qui éclot, une lettre de noblesse. - Un livre, ça vient de quoi ?
D’une idée, d’un impératif, d’une (im)pulsion, d’une nécessité, d’un présent imparfait à défaut d’un futur proche, qu’on décline à tous les temps pour le mener au mieux. Dans les faits, il se retrouve souvent au subjonctif et rarement au passé simple car le passé est plutôt composé (pas forcément dépassé d’ailleurs, même s’il est antérieur, vous me suivez ?). D’où l’idée de raconter, de décrire, de dénoncer, de créer, d’inventer. Dès lors, les personnages tournent sur eux-mêmes et parfois se rencontrent pour vivre des aventures catastrophiques ou heureuses… L’écriture permet le contrôle de l’histoire. Mieux, de l’assener au lecteur qui se l’appropriera ! Une façon de s’en débarrasser ? La prochaine fois, l’auteur en écrira une autre… - Un style, ça se trouve où ?
En soi, avec ce qu’on est, son humeur. A force de travail, une forme s’élabore et le style devient plus fluide, plus précis. Ainsi, l’auteur vagabonde et pose son encre noire sur le papier blanc, tentant de remplir les interstices de l’histoire, hésitant parfois à rajouter un mot qui ferait basculer toute l’harmonie, un passage qui dirait tout haut ce que l’on devine tout bas… - Quand on écrit, c’est pour qui ?
Pour toi qui me lis, qui es curieux de ce que je vais te dire, pour toi qui vas peut-être réagir à mon interpellation. T’es-tu reconnu ? Identifié au protagoniste du roman ? Aimes-tu le voyage dans lequel je t’emmène ? Je l’espère. Parce que j’aime explorer des terres sauvages, peuplées ou désertées avec toi, j’aime façonner un monde nouveau, réel ou rêvé, découvrir des situations auxquelles je ne t’attendais pas. J’aime aussi te susurrer mes pensées intérieures, celles qui font rebondir, réagir, agir enfin ! L’auteur n’est jamais seul. A défaut de se parler à lui-même, il converse avec le lecteur. Ecrire est finalement un luxe. Ou un acte désespéré. Au choix… - Votre dernier ouvrage, qu’est-ce qu’il raconte ?
Il se trouve qu’à l’heure où vous me parlez, trois ouvrages sont sortis en même temps. Une situation qui ne m’est jamais arrivée. Alors, j’en profite : « Le Grand malentendu » (Z4 éditions), parle de ce qui ne peut être dit. Ça tombe bien, l’auteure se penche sur l’avenir de l’homme, son chemin, ses errances, ses divergences, sa capacité à rebondir, en vue de renaissance, qui sait ? Atout considérable : Les 52 textes sont illustrés de photos, on peut donc regarder les images si l’on n’a pas envie d’ « insérer les verbes entre les êtres », comme elle dit…
Puis vint « Célébration » (éditions Unicité »), un ouvrage qui livre des paroles de sagesse inspirées de la Bible et de sa mystique. Là encore, des peintures viennent agrémenter la lecture et ainsi, nous arrivons au… Commencement.
Le troisième bébé, c’est le roman ! « Un amour sous emprise » aux éditions Trédaniel, une histoire d’amour. L’amour, toujours l’amour, oui, c’est un sujet qui s’en va et qui revient chez moi, « c’est fait de tout petits riens, comme une chanson populaire », ça vous dit quelque chose ? Bien sûr, comme c’est souvent le cas, rien ne va se passer comme prévu et là, je vous promets, c’est « la totale ! », car le récit va devenir… tragédie. Pourquoi n’ai-je pas appelé le livre « Les malheurs de Sophie » ? Ah oui, c’était déjà pris… Mais là, l’héroïne du roman perd tous ses repères. Parviendra-t-elle à échapper au pire ?acebook
Question par « Le mague.net » : https://www.lemague.net/dyn/spip.php?article9046
J’ME PRÉSENTE, JE M’APPELLE SARAH MOSTREL
J’me présente, je m’appelle Sarah.
J’voudrais bien réussir ma vie, être aimée…
Car finalement, y a-t-il plus important que l’amour ? Un sujet de prédilection que j’ai exploré sous plusieurs facettes :
en poésie, avec de nombreux poèmes sur le sujet décrivant l’amour dans tous ses états : splendide, sublimé, avec ses illusions, ses désillusions…
en prose, dans des recueils de nouvelles contemporaines.
dans un essai sur les relations amoureuses intitulé « Osez dire je t’aime », insistant sur ces mots précieux.
dans la chanson, lyrique ou rock (quelques extraits sur ma chaîne You Tube : (http://www.youtube.com/user/SarahMostrel/videos).
Le piano a été mon premier amour. Je l’ai pratiqué dès l’âge de 7 ans et il m’a accompagnée plus de dix ans. La musique occupera une place primordiale tout le long de mon existence.
j’suis chanteuse, j’chante pour la vie
j’veux faire des tubes et que ca tourne bien
j’veux écrire des chansons pour tous
des airs chics et humanistes…
Les relations humaines, c’est ce qui m’a poussée à changer de voie. De formation initiale ingénieur, métier que j’ai exercé plus de dix ans, je suis alors devenue écrivain, décrivant le monde réel tout comme le monde rêvé, dans des genres différents :
Des recueils de poésie : Chemin de soi(e) (2015), et Tel un sceau sur ton cœur (2012), éd. Auteurs du Monde, Le parfum de la Mandragore (2009, éd. Atlantica) ; La caresse de l’âme (2003) et La rougeur des pensées (2001), éd. La Bartavelle, L’Absolu illusoire (2000, éd. La Porte des Poètes).
Un essai : Osez dire je t’aime (2009, éd. Grancher).
Deux livres d’artistes : À mesure que je t’aime (2015) et À cœur défendant (2011), éd. Transignum.
Des recueils de nouvelles : La dérive bleutée (2014) et Révolte d’une femme libre (2013) aux éd. L’Echappée belle.
j’suis chanteuse, mais surtout auteure <br
Je chante sur les textes que j’écris
J’écris sur la pluie et le beau temps
j’fais des galas, en prose ou en poésie…</br
Côté productions musicales, j’ai travaillé avec les musiciens et compositeurs Pierre Meige, Robert Lauri et Jean-Pierre Brouard.
Albums : Ces heures où tout s’efface (2015), Poser le monde (2011) et Désirs Pastel (2010).
j’me produis sur les scènes parisiennes (vous pouvez suivre mon actualité sur http://www.facebook.com/sarah.mostrel)
Et tout comme Balavoine :
J’veux devenir une idole<br
Mais surtout changer le monde
Des concerts de cent mille personnes
Où même le tout Paris s’étonne
Et se lève pour prolonger le combat…</br
Récemment, je me suis mise à la photo et à la peinture.
J’veux mourir heureuse
Pour ne rien regretter
Sarah Mostrel, poète, écrivain, journaliste a publié de nombreux recueils de poésie, un essai, des recueils de nouvelles, un livre d’artiste, ainsi qu’un Cd et un Dvd poétiques illustrant ses textes chantés et mis en musique. Elle figure dans des anthologies, a reçu en 2015 la médaille Arts-Sciences-Lettres, obtenu en 2012 la mention spéciale du prix Charles le Quintrec et a été primée lors du concours international de poésie de la Porte des Poètes en 1999.
Site : http://www.sarahmostrel.online.fr
soundcloud.com/sarah-mostrel
http://www.alliance-francophone.org/v2/spip.php?article373
- Ici Paris n° 3542. Coup de cœur Culture (mai 2013)
« Parce que l’auteure s’y connaît particulièrement bien en psychologie humaine, rien de plus facile pour elle que de nous parler de… nous ! Nous, hommes et femmes qui cherchons et nous cherchons. Autant de tranches de vie et de personnages attachants auxquels nous aurons bien du mal à ne pas nous identifier. Enfance, éducation, relations amoureuses, solitude, malentendus, incompréhensions, magie d’une rencontre, désillusions, tous ces petits moments parfois déterminants dans notre drôle de destinée, à vous de les savourer sans aucune modération au fil des pages ». RÉVOLTE D’UNE FEMME LIBRE Sarah Mostrel/Échappée belle édition/135 pages/20 euros. Stéphanie Lohr/Ici Paris
- TJ n° 52 Salon du livre de Paris, 2013
- Albayane. 24 mai 2013
« Grâce à Régine Heindryckx Recchiuti, j’ai eu beaucoup de plaisir à rencontrer des auteurs de talent. A commencer par Sarah Mostrel. Une ravissante jeune femme qui présente Révolte d’une femme livre, paru à L’Échappée belle. Sarah Mostrel, par une série de portraits, profils psychologiques caractéristiques de certains fonctionnements humains, nous raconte des bouts de vie déterminants, au milieu de gens qui se cherchent et qui cherchent leur voie. Elle parle des hommes et des femmes, de ce qui touche le cœur, évoque la part de l’enfance, de l’éducation, le formatage initial, la magie ou le désastre des relations amoureuses et décrit, à travers ses personnages, leurs aspirations,leurs sentiments, leurs ressentis, leurs difficultés : solitude, décalage,innocence bafouée, malentendus, incompréhension, recherches éperdues, absurdité d’un système, inadaptation d’avec la réalité, magie d’une rencontre,désillusions, amours heureux ou malheureux, émerveillement de l’inattendu… Ces croisements de destins nous entraînent dans une véritable traversée humaine, qu’est la vie. »
Omri Zenati/Albayane
- Article Vanves Infos no 273. Avril 2013
« Savourez ce recueil de nouvelles qui évoque des croisements de destins sur le chemin de la vie. A travers une série de portraits, Sarah Mostrel évoque des hommes et des femmes, leur enfance, leur éducation, leurs sentiments, leurs colères, leurs problématiques…Un véritable récit de vies plein de poésie et d’humanité… »
Révolte d’une femme libre de Sarah Mostrel. L’Échappée Belle Édition
- Sefarad.org, mars 2013
« Sarah Mostrel, par une série de portraits, profils psychologiques caractéristiques de certains fonctionnements humains, nous raconte des bouts de vie déterminants,au milieu de gens qui se cherchent et qui cherchent leur voie. Elle parle des hommes et des femmes, de ce qui touche le cœur, évoque la part de l’enfance, de l’éducation, le formatage initial, la magie ou le désastre des relations amoureuses et décrit, à travers ses personnages, leurs aspirations, leurs sentiments, leurs ressentis, leurs difficultés : solitude, décalage, innocence bafouée, malentendus, incompréhension, recherches éperdues, absurdité d’un système, inadaptation d’avec la réalité, magie d’une rencontre, désillusions,amours heureux ou malheureux, émerveillement de l’inattendu… Ces croisements de destins nous entraînent dans une véritable traversée humaine, qu’est la vie.
Sarah Mostrel a plus d’une corde à son arc. Issue d’une formation scientifique, cette ingénieur devenue journaliste et écrivain décide de bifurquer vers la littérature en 2000, après la parution de son premier livre. S’ensuivront d’autres publications, un essai, un recueil de nouvelles, un livre d’artiste,des recueils de poèmes, et même un CD de ses textes qu’elle interprète,accompagnée au piano, et un spectacle musical qu’elle donnera dans un théâtre francilien.
D’autres nouvelles seront publiées dans des collectifs et des revues. Sarah Mostrel dévoile ici le premier volet d’une trilogie. Des nouvelles de jeunesse,pleines de sentiments. Mère de deux enfants, elle réside en région parisienne.
Révolte d’une femme libre
De Sarah Mostrel – L’Echappée Belle Edition
135 pages – 20 euros – ISBN 978-2-919483-14″
Moïse Rahmani/sefarad.org
- Blog de M. Bernard Gauducheau, maire et conseiller régional (8 février 2013) : http://bernardgauducheau.blogs.com/bernard_gauducheau1/2013/02/le-nouveau-recueil-de-nouvelles-de-sarah-mostrel.html
Je tiens à adresse mes félicitations à sarah MOSTREL pour la sortie de son nouveau recueil de nouvelles intitulé « révolte d’une femme libre » édité aux éditions L’Echappée Belle.
Pour Sarah MOSTREL, c’est « un recueil de vies. Un enchevêtrement d’existences, toutes animées d’une soif, soif de bonheurs, de joies. C’est une mine de profils psychologiques intimement liés par ce qui nous construit : l’enfance, les rencontres, l’amour.
Bravo à elle !
et 15 mars 2013 : http://bernardgauducheau.blogs.com/bernard_gauducheau1/2013/03/lectures-de-sarah-mostrel.html
- Montreux Publications n° 288 : Hymne à l’amour : Tel un sceau sur ton cœur (septembre 2012)
« Pour nos lecteurs en couple, le sexe symbolise l’expression de leur amour, et la publication de leurs photos dans nos pages s’apparente souvent, pour eux, à une déclaration. Dans un style qui rappelle parfois Garcia Lorca ou Péguy, les poésies de Sarah Mostrel célèbrent de belle façon l’amour pur mais charnel entre deux êtres, « dans le versant du songe, là où les roses durent… »
Tel un sceau sur ton cœur – Cantique à l’être aimé.
Sarah Mostrel, éd. Auteurs du Monde, 132p., 15 € »
– Magazine littéraire La lettrine Culture n° 13, (juillet-août 2012)
« Ancré sur les sentiments, ce recueil de poésie berce l’âme et révèle les bribes d’amour qu’éprouvent les femmes. A travers les mots d’amour doux, pénétrants, l’auteure nous transporte dans son univers, nous séduit, au point de nous livrer un bon moment de lecture. »
Sarah Mostrel, Tel un sceau sur ton cœur
Éditeur Auteurs du Monde, 132p., 15 €
- Ici Paris n°3489. Coup de cœur Culture (juin 2012)
« Poète, écrivain, journaliste, l’auteur a publié de nombreux recueils de poésie, une essai, des nouvelles, un livre d’artiste, ainsi qu’un Cd et un Dvd poétiques illustrant ses textes chantés et mis en musique. Elle figure dans des anthologies et a été primée lors d’un concours international. Autant de bonnes raisons d’ouvrir ce nouvel opus dédié aux femmes amoureuses.
Tel un sceau sur ton cœur – Cantique à l’être aimé.
Sarah Mostrel, Auteurs du Monde, 132p., 15 € »
Stéphanie Lohr/Ici Paris
- Vanves Infos n° 265 : Sarah Mostrel : L’amour sans fard et en vérité (juillet-août 2012)
« Vanves Info a déjà parlé de cette artiste qui continue à décliner son thème de prédilection : l’amour.
Sarah Mostrel tire son fil rouge, la féminité et l’amour, mais jamais ne le casse. Journaliste, auteur d’un essai, de nouvelle, de livres d’artiste, elle publie ici son cinquième recueil de poésie intitulé « Tel un sceau sur ton cœur – Cantique à l’être aimé. « La poésie est un mode de sublimation qui se prête aux excès de l’amour, à la contemplation, l’extase », aime-t-elle à dire. Sa poésie fait directement écho aux émotions souvent diffuses et complexes qu’induit le sentiment amoureux. A travers les 55 poèmes du recueil, Sarah Mostrel met des mots sur les vagues à l’âme, les désillusions mais surtout les bonheurs de l’amour. « Quelques mots d’amour et elles rêvent, et la ferveur les emmènent au sein des frontières du réel. C’est ainsi que les femmes aiment, infiniment, immensément. C’est ainsi qu’elles se sentent belles, sous l’emprise du sentiment. » Le message est passé : se laisser aller aux sentiments n’a jamais semblé aussi facile.
Tel un sceau sur ton cœur – Cantique à l’être aimé. Éditions Auteurs du Monde »
- MJLF (novembre 2012)
« Une cinquantaine de cantiques à l’être aimé. A travers des mots d’amour doux, pénétrants, l’auteur révèle les bribes d’amour qu’éprouvent les femmes. Elle nous transporte dans son univers, nous séduit, berce notre âme. Un recueil de poésie par une femme, pur les femmes et… les hommes. »
- Revue des langues françaises d’ici et d’ailleurs (avril-juin 2012), Convergence francophone (FIAPF) sur Osez dire je t’aime.
- Vanves Infos n° 248 . Janvier 2011 :http://issuu.com/ville-de-vanves/docs/vi248-janvier-2011
Premier CD pour Sarah Mostrel : Désirs Pastel
« Félicitations !
Musicienne, écrivaine, poétesse, la Vanvéenne Sarah Mostrel a plus d’une corde à son arc. Après plusieurs recueils de poésie et de nouvelles et un essai paru en 2009, sa dernière œuvre, Désirs Pastel, Cd de 15 titres, écrits et lus par elle-même, et mis en musique par Pierre Meige, vient de sortir. Une jolie réalisation à découvrir.
Infos sur http://www.sarahmostrel.online.fr/
Désirs Pastel, texte/voix/chant, Sarah Mostrel. Musique : Pierre Meige »
Vanessa Faisant, journaliste
- – Lev Haïr Meteor n° 7 (http://fr.calameo.com/read/000220566306d446e88c2)
Osez dire je t’aime de Sarah Mostrel
« Je t’aime… I love you… Ich liebe dich… Ti amo… Nob nala… N’bghick… Anata ga daisuki desu… Il n’y a pas d’expression plus internationale et romantique que le verbe aimer à la première personne !Malheureusement, en-dehors des chansons ou du cinéma, on aimerait les entendre ces mots magiques – et les dire – plus souvent au creux de l’oreille, dans la flamme du coup de foudre autant que sur la route commune du bonheur conjugal. Dans cette ère surchargée de moyens de communication, force est de constater qu’il est encore difficile pour beaucoup d’exprimer leurs sentiments. Relations éphémères, modes de relations virtuels, les facilités de mise en contact ne rendent pas pour autant les individus plus communicants. En couple comme dans toute relation humaine, le monde devient avare de mots doux et de poésie, générant frustrations, incompréhensions et mésententes. Pourtant l’amour, gage d’équilibre et de bien-être, est inévitablement au centre des préoccupations humaines les plus naturelles. En menant son enquête auprès d’individus de tous âges et de tous horizons témoignant sur leurs difficultés à dire « je t’aime », Sarah Mostrel dresse un panorama actuel des relations amoureuses et délivre les clés d’un meilleur épanouissement.
Prix public : 15€, vente dans les librairies, Fnac.. «
- Publication dans le journal du Farband suite à l’intervention du 31 mai 2010
Le lundi 31 mai, nous avons reçu avec plaisir Sarah Mostrel, Journaliste, Poétesseet Nouvelliste, primée lors du Septième Concours international de poésieorganisé par l’Association « La Porte des Poètes » en octobre 1999.
Elle est venue nous parler de sesrecueils de poésies : « Le Parfum de la Mandragore » (éd.Atlantica-Séguier »), « La Rougeur des Pensées » (éd. LaBartavelle), « La Caresse de l’Ame » (éd. La Bartavelle »), « ParolesVanvéennes » (éd. Du Bout de la Rue », ainsi que de son essai« Osez dire je t’aime » (éd. Grancher).
Sarah estime qu’en dépit desrigueurs d’un poème (alexandrins, rimes, etc.), la poésie est un moyen d’écrireen toute liberté. Grâce aux métaphores, la poétesse nous fait plonger dans laVérité Totale.
Elle met l’accent sur l’assemblagedes mots pour décrire les ressentis de l’Amour : de l’émotion du bonheurle plus total jusqu’à la désillusion la plus profonde. La poésie estessentielle dans notre société. Sarah la prône et incite à la reconnaître toutautour de nous. Par un jeu subtil, Sarah sait aussi faire coïncider Science etPoésie (l’écrivain a d’ailleurs une formation d’ingénieur).
Juive, Sarah, imprégnée duvocabulaire biblique, nous transmet ses émotions face au terrorisme dans sonpoème « 11 septembre » avec un « Hommage àThierry Saada », extraits du recueil « Le Parfum de laMandragore ». Sa position sioniste se veut engagée (elle a notamment vécuen Israël 10 ans).
En plus de ses recueils de poèmespubliés, Sarah a réalisé une enquête sur l’amour pour son essai « Osezdire je t’aime » (en exergue, deux magnifiques citations de Martin Gray etNahman de Braslaw). D’après son étude, il existe un véritable problème decommunication dans les couples, cause des nombreux divorces que l’on peutconstater. Elle évoque la nécessité des mots, oser, dire, aimer… Le verbe a uneextrême importance, notamment dans la tradition Juive. Les paroles sontessentielles au sein de la famille, entre conjoints comme de parents à enfants,d’enfants à leurs parents. L’expression de l’amour n’est pas à épargner.
Les raisons de ne pas dire« je t’aime » sont multiples : caractère introverti, peur d’êtreenchaîné à l’autre, peur de perdre l’Autre, peur de l’engagement ou parce qu’onne l’a pas entendu dans son enfance…
Les conséquences de ne pasdire « je t’aime » sont nombreuses :
1) – On passe à côté de soi-même
2) – On néglige l’autre
3) – On ne dit pas les mots essentiels qui sont pourtantle fondement de la relation
4) – C’est une source de malentendus qui entraînefrustrations, incertitudes, demandes exacerbées…
5) – On ne vitpas pleinement le moment présent etc.
Dansl’Amour, offrir des paroles est primordial et rend la Vie plus belle.
Sarah Mostrel nous a touchés grâce à l’assemblage de ses pensées et au choix de ses mots. Elle puise sonoptimisme dans le Judaïsme, son espoir est toujours vivant malgré une lucidité sur la Violence duMonde. Selon la journaliste, il est nécessaire d’éclairer la relation enverbalisant la notion « Je t’aime ». Rajouter des mots aux actes estun moyen d’aimer son prochain et le Monde. Grâce à la Poésie, la Musicalité deses Mots, la poétesse nous a fait entrer en résonance avec le monde auquel nousdevons participer pour contribuer à ce qu’il soit meilleur.
Franck d’Almeida.
- Planeteculture (5 avril 2010) :
« Je t’aime… I love you… Ich liebe dich… Ti amo… Nob nala… N’bghick… Anata ga daisuki desu… Il n’y a pas d’expression plus internationale et romantique que le verbe aimer à la première personne !
Malheureusement, en-dehors des chansons ou du cinéma, on aimerait les entendre ces mots magiques – et les dire – plus souvent au creux de l’oreille, dans la flamme du coup de foudre autant que sur la route commune du bonheur conjugal.
Dans cette ère surchargée de moyens de communication, force est de constater qu’il est encore difficile pour beaucoup d’exprimer leurs sentiments. Relations éphémères, modes de relations virtuels, les facilités de mise en contact ne rendent pas pour autant les individus plus communicants.
En couple comme dans toute relation humaine, le monde devient avare de mots doux et de poésie, générant frustrations, incompréhensions et mésententes. Pourtant l’amour, gage d’équilibre et de bien-être, est inévitablement au centre des préoccupations humaines les plus naturelles.
En menant son enquête auprès d’individus de tous âges et de tous horizons témoignant sur leurs difficultés à dire « je t’aime », Sarah Mostrel dresse un panorama actuel des relations amoureuses et délivre les clés d’un meilleur épanouissement.
Son livre a pour objet de réanimer ces mots précieux, de les entretenir, et de manifester ainsi la tendresse au jour le jour, dans le plaisir de dire et de partager. Comment ? En laissant tout simplement parler son cœur, à partir d’une bonne connaissance de soi et d’une réelle écoute de l’autre.
En replaçant le sentiment à sa juste place, Sarah Mostrel insuffle une magnifique note d’espoir : l’amour est serein et pérenne quand on exprime librement ses émotions.
Musicienne, poète et romancière, Sarah Mostrel a publié plusieurs recueils de poésie et de nouvelles. Elle a fait des études d’ingénieur, métier qu’elle a exercé pendant plus de dix ans, avant de se tourner vers le journalisme. Elle exerce aujourd’hui dans la presse magazine.
Collection Notre vie quotidienne
276 pages.
PRIX : 15 € »
- Ici Paris n° 3369, Coup de cœur Culture, avec LE PARFUM DE LA MANDRAGORE
« Ingénieur, poète, écrivain et journaliste, notre consoeur Sarah Mostrel a déjà publié des essais et des nouvelles. Citée dans plusieurs anthologies poétiques, elle a été primée lors d’un concours international de poésie et présente ici son quatrième recueil de poèmes avec un thème toujours aussi cher à son cœur : l’amour, dans toutes ses vibrations les plus intenses et enivrantes, de la passion au désir sans oublier les affres de la tentation. »
Stéphanie Lohr, rédactrice en chef Ici Paris no 3369
- Critique littéraire de Philippe Lumbroso sur la poésie de Sarah Mostrel.
« SARAH MOSTREL où Ève contre le Serpent.
Ma première impression à la lecture de la poésie de Sarah Mostrel est tout d’abord d’être emporté par le courant, par le flux, comme sur un large fleuve au milieu d’une forêt épaisse. Les éléments liquide et végétal s’imposent d’emblée et marquent sa poésie de sa féminité généreuse. Images de la rosée du matin, de la sève, ce fluide est avant tout amour et baume réparateur. Il est aussi orgasme et fertilité. Comme la marée, tantôt haute, gonflée d’espoir et de désir, prête à engloutir l’être aimé, mais aussi basse, déçue, dépitée de cette impossible fusion, comme blessée et gémissante, tentée par un ressac autistique. Telle est son écriture, portée par ce double mouvement qui est le mouvement du désir, et son style fluide, naturel, presque trop naturel.
Nombre de ses poèmes décrivent cet amour sans limite, ce « fantasme », cet espoir fou, orgasmique, comme celui d’une Ève et d’un Adam d’avant la Chute, sans serpent pour jouer les trouble-fêtes. Ainsi ce beau poème de l’Absolu Illusoire, « Fantasmes » :
Dans un rapt insensé
Un ange m’emmenait
Moi qui l’attendais
Depuis l’éternité
Dans mon fantasme
Tes yeux perçaient les miens
Tes mains fondaient mes seins
Tes côtes frôlaient mes reins
Je perdais tout repère
Et le ciel et la terre
Se joignaient dans l’orgasme
Dans mon fantasme…/
/Dans mon fantasme
Tu épousais le mien
Mes besoins, mes envies
Tu réparais ma vie… Amour fou, pré-adamique, mais non réel, la chute
Car en réalité
Tu n’étais pas. Sonnant comme un réveil brutal.
Cette référence à la Genèse n’est pas totalement innocente puisque Sarah invoque elle-même parfois D….
Encore un beau poème tiré de la Caresse de l’âme
« Le rêve d’Ève et d’Adam »
…/Une pomme interdite vint à se présenter
Elle croqua à pleines dents
Lui en fut subjugué
Mais rien ne compromit la femme ni l’amant
Elle procréa sans mal un merveilleux enfant…/
…/La pomme qui tenta Eve qui attira Adam
Qui brava le serpent empoisonneur de sang
Et le ciel salue la figure fugace du temps qui brûle encore…
Dans ce rêve perpétuel de notre existence.
Le réveil est très dur, blessant, et la blessure nous empêche de parler (« l’autiste »), de raisonner, la femme pense au suicide, le désespoir est là :
« Suicide »
Ôtez-moi ce sourire trompeur
Ne vous moquez plus de moi
E me faites pas entr’apercevoir la lueur du bonheur
Si je ne le vis pas…/
/Je ne veux plus rêver
Je ne veux plus y croire
Je tangue et je faillis
Sur le paquebot du désespoir
« Survivance »
Où es-tu mon poète
Où es-tu donc parti ?
Je te cherche et j’arpente
Le sinus de mes jours
Mes nuits se font seules…/
Sarah oscille dans cet entre-deux, travaille sur la cicatrice, tisse pour recoudre.
« Écrire poétiquement consiste donc à coudre de fil noir la page blanche, aussi bien qu’à en découdre avec le sens, le non-sens, le réel, la chimère… Et c’est encore s’efforcer de recoudre nos déchirures, nos séparations, nos blessures. C’est incessamment reprendre et repriser une couture qui se défait. C’est répéter ainsi indéfiniment le geste qui fut celui de notre naissance. C’est aussi bien se remettre au monde que faire perdurer le lien avec la langue maternelle. S’efforcer de rentrer, de retourner en elle. Parfois se retourner contre elle : aller donc et venir, à mi-chemin de la naissance et de la disparition, dans l’entre-deux qui est le nôtre./
On sait la prédilection des poètes pour les lieux et les moments lisières : ce qui tout à la fois sépare et relie. Ce qui borde, délimite, mais peut aussi bien s’ouvrir, à la façon d’une plage, sur l’illimité. La poésie est une bordure de langue, qui fait face au débordement. Elle dit notre vie bordée de noir par la mort. »
Jean-Michel Maulpoix
Comme le dit du poète Pierre Reverdy :
« Sa faculté majeure est de discerner, dans les choses, des rapports justes mais non évidents qui, dans un rapprochement violent, seront susceptibles de produire, par un accord imprévu, une émotion que le spectacle des choses elles-mêmes serait incapable de nous donner. »
A cet égard, Le parfum de la Mandragore , le dernier recueil de Sarah Mostrel à cette date, démontre une singulière cohérence dans les symboles. En effet, comme il est dit en quatrième de couverture, la mandragore aurait poussé dans le paradis terrestre. Cette plante très recherchée pour ses vertus médicinales et aphrodisiaques dégage une odeur et une saveur désagréables et est vénéneuse. Néanmoins d’après les légendes médiévales la mandragore, rouge comme les pensées ( !), aurait pu être l’antidote du serpent pour Ève ou même une panacée.
« Les serpents ont une horreur spéciale pour la mandragore et sa racine, et celle-ci offre un remède à sa morsure » Gustave Le Rouge in la Mandragore Magique. De plus, ayant une forme quasi humaine voire sexuelle, elle représente une sorte de stade premier, de première forme de l’humain qui serait un bonhomme-végétal, au cri déchirant quand on le déracine :
« L’homme est sorti du limon de la terre, il a donc dû s’y former, en première ébauche, sous la forme d’une racine. » Gustave Le Rouge.
– « Au Moyen Âge, la mandragore atteignit l’apogée de sa
renommée : le mot seul de mandragore causait une sorte de frémissement.
On ne pouvait songer au petit ‘homme plante’ quand
on arrachait de terre ses racines, il poussait des gémissements,
et ses radicelles, laissaient perler des gouttes de sang. Mais celui
qui la possédait était riche et heureux à jamais… on la place dans
un coffre à argent ».GLR.
Enfin la mandragore était réputée être un remède contre la stérilité. Elle pousse à l’endroit des gibets car issue du sperme des pendus (cf Michel Tournier). Ceci rejoint le poème Le rêve d’Ève et d’Adam, la poétesse veut croire à l’absence de péché originel, dit non à la chute et à la faute, volatilise les douleurs de l’enfantement, mais ne peut s’empêcher de pressentir l’abîme néanmoins. Ce double mouvement se retrouve pour ainsi dire en ces deux parties « embrasement » et « l’heure Injuste ».
« Quel aurait été le monde sans le péché originel ?
Pas de réticence à la véracité
« Quand l’altération n’était point »
« Combien de fois suis-je morte ? »
Dans l’avenir pensé, des blessures repansées
Cicatrices recousues inlassablement
Afin de regagner des chemins heureux »
Elle veut croire à un retour au réel, et à la persistance de l’amour
« Les pleurs ont cessé tant ils ont inondé l’océan
Je t’aime encore… », sa mandragore étant l’écriture elle-même, salvatrice et réparatrice. »
Philippe Lumbroso
– Diasporablog
- Tribune Juive. octobre 2009
- JAMIF (magazine santé), n° 593 (septembre 2009),
« Dans cette ère de surcharge de moyens de communication, force est de constater qu’il est encore difficile pour beaucoup d’exprimer leurs sentiments. Relations éphémères, modes de relations virtuels, les facilités de mise en contact ne rendent pas pour autant les individus plus communicants. Cause essentielle des ruptures conjugales, le manque de communication entraîne des non-dits et de nombreux malentendus dans le couple. Le divorce est en constante augmentation, les valeurs se perdent, et pourtant l’amour, gage d’équilibre et de bien-être, est inévitablement au centre des préoccupations humaines les plus naturelles. En couple comme dans toute relation humaine, le monde devient avare de mots doux et de poésie, générant frustrations, incompréhensions et mésententes. Par cette enquête menée auprès d’individus de tous âges et de tous horizons témoignant sur leurs difficultés à dire « je t’aime », Sarah Mostrel dresse un panorama actuel des relations amoureuses et délivre les clés de l’épanouissement amoureux. Ce livre a pour objet de réanimer ces mots précieux, de les entretenir, et de manifester ainsi la tendresse au jour le jour, dans le plaisir de dire et de partager. Comment ? En laissant tout simplement parler son cœur. En replaçant le sentiment à sa juste place, Sarah Mostrel insuffle une magnifique note d’espoir : l’amour est serein et pérenne quand on exprime librement ses émotions.
Biographie de l’auteur
Musicienne, poète et romancière.. Sarah Mostrel a publié plusieurs recueils de poésie et des nouvelles. Elle a fait des études d’ingénieur, métier qu’elle a exercé pendant plus de dix ans, avant de se tourner vers le journalisme. Elle exerce aujourd’hui dans la presse magazine. »
Robert Haïat
- Direct8 – Les Enfants d’Abraham – Coup de coeur pour « Osez dire je t’aime », le livre de Sarah Mostrel · jeudi 12 novembre 2009
« Voici un livre touchant sur la seule question qui en vaille la peine. ».
Haïm Korsia
- – Vanves Infos n° 234
« De la préciosité de l’amour…
Musicienne, écrivaine, poétesse… Sarah Mostrel est une artiste dans l’âme. Également connue des Vanvéens comme Sarah Naor, pseudonyme sous lequel elle a déjà fait paraître plusieurs recueils de poésie et de nouvelles, la Vanvéenne présente aujourd’hui un essai au titre rempli d’optimisme : Osez dire je t’aime.
Vanvéenne depuis son plus jeune âge, Sarah Mostrel est active dans sa vie et dans sa ville. Les amateurs de prose ont déjà pu la découvrir à l’espace Gazier, au Conservatoire ou au Club Murillo… Passionnée depuis toujours, cette ingénieure de formation aujourd’hui reconvertie au métier de journaliste s’adonne à l’écriture depuis plus de dix ans. Primée en 1999 lors du 7e Concours international de poésie La Porte des Poètes, elle a fait paraître plusieurs recueils de poésie, des nouvelles, et a écrit des chansons. Auprès de Pierre Meige, autre figure vanvéenne, elle a notamment collaboré à l’ouvrage collectif Paroles vanvéennes (Édition du Bout de la Rue). Curieuse insatiable, elle publie aujourd’hui Osez dire je t’aime, un essai sur les relations amoureuses, fruit d’une enquête qui lui a permis de récolter et d’analyser une cinquantaine de témoignages sur la difficulté à exprimer ces trois petits mots qui, s’ils paraissent simples, sont souvent réfrénés. « L’amour est un sentiment magnifique mais parfois malmené. J’avais des choses à dire et à transmettre sur le sujet, l’envie de défendre son importance au quotidien. Dans ce monde avare de mots doux, il s’agit de redonner toute sa place à l’amour, de le célébrer comme il se doit en restaurant toute sa préciosité », confie l’auteure. Au fil des pages, Sarah Mostrel délivre ainsi les clés de l’épanouissement amoureux. « Ce livre a pour objet de ranimer ces mots précieux, de les entretenir, dans le plaisir de dire et de partager en laissant tout simplement parler son cœur. L’amour est serein et pérenne quand on exprime librement ses émotions.» A bon entendeur…
A peine le temps de terminer ses séances de signature d’Osez dire je t’aime dans plusieurs librairies vanvéennes (voir dates ci-dessous) et l’écrivaine se consacrera bientôt à ses autres projets : la parution imminente d’un recueil de poésie, Le Parfum de la Mandragore (éditions Atlantica-Séguier), composé de trois suites poétiques, deux sur l’amour, une en hommage aux victimes du 11 septembre. Elle prépare également actuellement un roman et vient de finaliser un nouveau recueil de nouvelles.
Osez dire je t’aime, le secret des couples épanouis de Sarah Mostrel aux Editions Grancher. Disponible en librairies, dans les Fnac, sur Amazon… »
- L’Alsace.fr : Lignes d’amour
« Aimer, c’est bien. Le dire, c’est encore mieux. C’est tout le message du livre signé par Sarah Mostrel. L’auteur a mené une véritable enquête auprès d’individus de tous âges témoignant de leurs difficultés à dire leur amour. Sarah Mostrel dresse un panorama actuel des relations amoureuses et délivres les clés d’un meilleur épanouissement. Son livre a pour but de réanimer ces précieux mots, de les entretenir au jour le jour avec la tendresse.
« Osez dire je t’aime ». Sarah Mostrel; éd. Grancher. 276 pages. 15 € »
www.alsapresse.com. Edition du 7 août 2009
- Recto Verseau n° 201
« Par cette enquête menée auprès d’individus de tous âges et de tous horizons témoignant sur leurs difficultés à dire « je t’aime », Sarah Mostrel nous délivre les clés de l’épanouissement amoureux. Ce livre a pour objet de réanimer ces mots précieux, de les entretenir, et de manifester ainsi de la tendresse au jour le jour, dans le plaisir de dire et de partager… En laissant tout simplement parler son cœur. En replaçant le sentiment à sa juste place, Sarah Mostrel insuffle une magnifique note d’espoir : l’amour est serein et pérenne quand on exprime librement ses émotions.
Osez dire je t’aime de Sarah Mostrel, éd. Grancher »
- Féminin Santé n° 30 (août-septembre-octobre 2009)
« En couple comme dans toute relation humaine, le monde devient avare de mots doux et de poésie, générant frustrations, incompréhensions et mésententes. Par cette enquête menée auprès d’individus de tous âges et de tous horizons témoignant sur leurs difficultés à dire « je t’aime », Sarah Mostrel nous délivre les clés de l’épanouissement amoureux.
Ce livre a pour objet de réanimer ces mots précieux, de les entretenir, et de manifester ainsi la tendresse au jour le jour, dans le plaisir de dire et de partager. Comment ? En laissant tout simplement parler son cœur.
Osez dire je t’aime de Sarah Mostrel, éd. Grancher, 268 pages, 15 € »
- Alsapresse, Mulhouse
« Aimer, c’est bien. le dire, c’est encore mieux. C’est tout le message du livre signé par Sarah Mostrel. L’auteur a mené une véritable enquête auprès d’individus de tous âges témoignant de leurs difficultés à dire leur amour. Sarah Mostrel dresse un panorama actuel des relations amoureuses et délivres les clés d’un meilleur épanouissement. Son livre a pour but de réanimer ces précieux mots, de les entretenir au jour le jour avec la tendresse.
« Osez dire je t’aime ». Sarah Mostrel; éd. Grancher. 276 pages. 15 € »
- Mieux pour moi n° 3
Osez dire je t’aime
« Je t’aime est plus employé par les femmes. Goût du risque, générosité,facilité à l’extériorisation, aisance dans la parole, dans les confidences ? Les femmes sont le genre qui le dit le plus volontiers et le plus fréquemment, mais ce sont également elles qui sont le plus demandeuses de l’entendre… Musicienne, poète et romancière, Sarah Mostrel constate que dans notre ère pourtant surchargée en moyens de communication, il est encore difficile pour beaucoup d ‘exprimer leurs sentiments. En menant l’enquête auprès d’individus de tous âges et de tous horizons, elle dresse un panorama des relations amoureuses… Au fil de sa recherche, vous découvrirez les clés d’un meilleur épanouissement (éd. Grancher, 276 pages, 15 €) »
- France Dimanche n° 3282
Double page sur « Osez dire je t’aime », par Lionel Coutat :
- Critique littéraire de Philippe Lumbroso sur l’essai « Osez dire je t’aime » de Sarah Mostrel.
« Je viens de terminer l’ouvrage « Osez dire je t’aime » de Sarah Mostrel. Ce livre sur la relation de couple est de lecture très agréable, respire un bel optimisme, et donne « la pêche ». Ce livre est plusieurs choses à la fois, recueil de témoignages, traité sur l’amour, manuel de pensée positive et de développement personnel.
On sent que Sarah a elle-même un vécu très riche et a accompli un travail sur elle-même important. Ce qui donne à certains passages une grâce, un parfum mystique (sans qu’aucune religion n’y soit explicitement mentionnée), une connotation d’espoir qui nous fait presque échapper à notre finitude. Également bardé de mises en garde contre les manipulateurs, les Don Juan, les « vampires schizo-affectifs » qui se repaissent de l’amour qu’on leur porte sans rien donner en échange, ce guide nous invite à tomber les masques, passages qui moi m’ont particulièrement touché, pour assumer sans peur ce que nous sommes. Petite objection, le masque social me semble nécessaire simplement pour interagir dans la société sans paraître trop « bizarre ». Dans Osez dire je t’aime, Sarah nous invite souvent à ce travail sur soi, même avec un psychothérapeute, privilégiant la remise en question sur les formules toutes faites type : « je suis comme ça » qui coupent tout échange possible. Elle évite soigneusement les références psychanalytiques, et l’on peut s’en réjouir pour la fluidité du propos, rappelons cependant la célèbre formule de Lacan : « l’amour, c’est donner ce qu’on n’a pas à quelqu’un qui n’en veut pas », qui montre assez bien que l’amour n’est pas si simple au niveau des mécanismes inconscients. (…)Enfin je dirais que ce livre est vraiment porteur d’espoir, un composite étrange de psychologie, de poésie, de manuel de pensée positive pour bien vivre son couple, ou pour faire attention, on y sent de toute façon l’empreinte, le souffle, d’une féminité éternelle et sans limites. »
Philippe Lumbroso
- Site de l’écrivain Raphaël Cohen
« Un livre qui vient tout juste de paraître. De Sarah Mostrel »Osez dire je t’aime. »Le secret des couples épanouis. Paru chez Grancher. Juin 2009.
Couples épanouis ?J’aime beaucoup l’idée. Surtout, le succès qui est proposé. Non tuer des dragons pour obtenir la fille, mais, tout au contraire, comme Itshak et Rivka, être face à face, et vaincre toute stérilité. Je pense à une boutade d’Alphonse Karr, humoriste et moraliste. »Un baiser ? » »C’est une demande adressée au deuxième étage pour savoir si le premier est libre. »L’amour qui échoue, c’est celui où il n’y a personne, à aucun étage…Femmes d’artistes, si souvent utilisées par de paraît-il génies qui sucent tranquillement leur sang, leur génie leur autorisant ce plaisir délicat…
J’aime l’audace, l’ambition de Sarah Mostrel. Elle est rare. Même si beaucoup, notamment aux États-Unis, ont publié des livres sur le sujet. J’aime la double plénitude. Lui par elle, et elle par lui. C’est mieux que ce que Marie de France exprimait, bellement, dans le « lai du chèvrefeuille ».
Et quelle perfection, quelle plénitude !Pas du tout la misogynie, même savante, de Rabelais. Ni la folie de guerre des sexes d’August Strindberg, encore un génie, mais trop malade…Je regarde juste, pour le moment, la table des matières. Je déteste la distinction artificielle entre le *gâteau* et la *cerise*. Dans la vie, tout est délectable. Encore davantage, dans l’amour. Dans son désir, naturel mais sublime, de parvenir à la totalité de l’accomplissement de l’être. »Les femmes plus demandeuses, les hommes moins parlants ? » Pas forcément… Cela dépend des caractères. Avec toutes les variétés, qui font que chacun est un univers entier. Un auteur lu récemment explique que les relations prudentes entre hommes et femmes ont eu pour conséquence que les hommes n’ont pas développé leurs qualités féminines, ni les femmes leurs qualités masculines. Ce qui les a profondément amoindris. Mais même cela est un peu faux. Je viens de lire une ravissante pièce de Musset, Carmosine. Et de relire ses Caprices de Marianne. Dans sa relation avec George Sand, il était bien plus parlant. Bien plus amer. On dit que les femmes ont toujours peur d’être abandonnées. Ce n’est pas toujours le cas. Une notion d’amour sain apparaît. Sinon, explique le Talmud, l’un et l’autre sont détruits, dans des domaines essentiels de leur personne. Amours purs. Ceux qui élèvent l’un et l’autre. Non l’égout dans lequel se sont engouffrés Edouard Stern et sa maîtresse qui, très logiquement, l’a tué, avec le prétexte utile de son indélicatesse. Ils avaient choisi, l’un et l’autre, le suicide.
Zohar « S’il monte, elle monte avec lui ; s’il descend, elle ne descend pas avec lui ». L’amour entre deux êtres ? L’invention de l’absolu. Avec la possibilité simple de parfaitement réussir. Beaucoup de promesses dans un livre.Espoirs. Genèse »Il n’est pas bon que l’homme soit seul. »Et pas davantage la femme. Talmud Que chacun mette l’autre sur ses pieds. Qu’il éclaire son regard. Elle tient lieu, pour lui, de D-ieu. Qu’il mérite, si possible, lui aussi, la même merveille. »
Raphaël Cohen, écrivain.
- Les Obsédés Textuels. Coup de cœur des Obsédés Textuels, août 2009,
« Une leçon amoureuse n’est jamais inutile en été. Sarah Mostrel, que nous avons connue excellente poétesse (Sarah Naor), aspire à nous révéler « les secrets des couples épanouis ». Nous lui donnons crédit car, en plus des interviews d’hommes et de femmes qu’elle a scrupuleusement menées, l’amour est son terrain d’inspiration fétiche et sa plume revêt une sensibilité touchante jusqu’à une douce candeur. Alors, si elle pense que l’on peut oser dire « je t’aime » avec succès, acceptons-en l’augure ! »
Cédric Bru
- Le blog de Brigitte Lahaie (RMC) : Commentaires du blog suite au passage radio de Sarah Mostrel sur RMC
(également surhttp://rmc.bfmtv.com/emission/sexy-news-24-06-osez-dire-taime-ed-grancher-469665.html)
« Joli livre. Inattendu ! Enfin, on revient à l’essentiel. Que serions-nous sans amour ? Beaucoup de témoignages correspondent à des personnes que j’ai aimées. El lisant ce livre, peut-être aurions-nous pu mieux construire… Bravo en tout cas pour vos précieux indices ! »
« Votre œuvre est une ordonnance pour sauver mon couple. Je l’aime… tellement ! Merci de tout mon cœur. Marine je t’aime. »
« Les mots, les gestes, les intentions, les caresses sont les préludes de tout AMOUR VRAI, l’acte intime n’est que l’aboutissement de tout cela, bien sûr, il y a des personnes qui ont des rapports sans cela, pour moi cela ne vaut RIEN, il reste une fois terminé » QUOI » ??? l’amour où l’on donne tout son être, son cœur, cela reste gravé à jamais, main dans la main, le toucher, l’odeur, être bien ensemble, se rechercher lorsque l’on est absent pour une raison ou pour une autre, l’attendre avec le cœur qui bat, entendre son pas et sauter dans ses bras dès qu’il arrive , se blottir contre lui, s’endormir main dans la main, le vrai Amour c’est cela et le reste n’est que plus beau. Merci »
« J’ai beaucoup aimé ce livre ! A mettre entre toutes les mains ! »
- Ici Paris n° 3338. Coup de cœur Culture
« Il n’y a pas d’expression plus internationale et romantique que le verbe aimer à la première personne. Mais « je t’aime » se dit de moins en moins. Dans ce monde avare de mots doux, l’auteur – qui collabore au sein de notre magazine – a mené son enquête, dressant un panorama pour le moins préoccupant des relations amoureuses d’aujourd’hui. A nous maintenant de laisser parler notre cœur pour oser dire « je t’aime » et exprimer notre sentiment. Une belle leçon d’optimisme ! »
Stéphanie Lohr, rédactrice en chef, sur « Osez dire je t’aime », éditions Grancher
- Vanves Infos n° 178 septembre 2004, Vanves Infos n° 151, Vanves Infos n° 135, Vanves Infos n° 133
- TJ n° 52


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